Le Produire
« sport » français n’est pas encore dans les mœurs des politiques
plus enclins aux importations sportives
Etre un sport
français : Un parcours entre incompréhension, ignorance et défense de pré-
carrés ou quand une petite divergence locale révèle un vrai problème national.
Suite à
notre demande de renouvellement de subvention auprès de notre Instance
Régionale PACA, le Cabinet de Monsieur le Président VAUZELLE a rejeté, cette
année, notre dossier de subventions.
Ce
rejet du dossier fut au motif que « la Région ne finance pas d’association
propriété d’un individu ».
L’association
Pro Soccer Aréna n’est pas la propriété de Georges Decerier mais celle des
pratiquants. Le sport et l’organisation du sport, qu’elle gouverne et dont elle défend
les valeurs et l’éthique tant sportives que comportementales, ont fait eux
l’objet de dépôt à l’INPI.
Les raisons de
ces dépôts :
Le concept dit du Quick Soccer est né d’une
réflexion et de l’écriture par Georges Decerier, en 2001-02, d’un projet de Gouvernance et d’organisation de
Sports de loisir à passerelle compétitive Pro-Am : En résumé un
ascenseur sportif et social ouvert à tous et paritaire. Il permet l’émergence
des talents et des collectivités du plus profond d’un pays. De plus un concept
low cost à forts retours tant financier que d’image.
Il fut
conçu en anticipant non seulement les
crises financières qui se faisaient jour. Il apportait nombre de solutions aux
problématiques soulevées par l’Assemblée du Sport (2011). Il permet de
concilier simplement d’une part tous les aspects du sport, d’autre part les politiques sportives et les intérêts de
tous les intervenants (intérêts locaux, nationaux mais aussi internationaux du sport français), le tout
dans le contexte juridique européen.
Pour rester
français
D’autre
part, l’exemple de captation d’un sport
par une fédération internationale
au détriment de sa fédération fondatrice
existe. Ce qui fait que selon les pays le sport est généré par l’une ou
l’autre de ces fédérations, voire les deux.
La Maitrise de
la gouvernance :
Ce que découvrent
en 2008 le rapport Douillet et les travaux en février 2012 de la mission
sur la
gouvernance des fédérations sportives, présentés par Monsieur le Député Gilles
D’ERRORE font également ressortir le déclin français. D’autre part, la
concurrence entre les nations pour
l’obtention d’épreuves internationales
et de prestiges tant sportifs que politiques est largement ouverte. Il était pourtant simple de comprendre que dès
que l’on n’a pas la maitrise de la
« Gouvernance internationale » les décisions de Fédérations et
Instances qui n’ont aucun compte à rendre sur
leur politique, échappent aux Etats. Ceci d’autant plus que les épreuves
internationales ont été déposées et sont protégées.
Pour pouvoir
citer un sport collectif né et gouverné en France
On
comprendra alors pourquoi en 2006, devant le manque d’intérêt de nos dossiers
par
·
le ministère des sports français,
·
l’Andiiss et de l’Andes,
·
les Maires de France, des régions et des
départements,
·
les Députés de la commission sport
et dans
le même temps la classification de « Produit Innovant » par les
acteurs du sport, le représentant de la
DD JS du Var, invita Georges Decerier à déposer à ses frais le plus d’éléments
possibles à l’INPI pour préserver le concept en attendant...le « bon
vouloir » des politiques.
Des
dépôts furent donc fait par le créateur du concept du Quick Soccer dans le but
de renforcer comme le souhaitait Georges Decerier la recherche, le
développement et l’export de sports porteurs de nos valeurs nationales et
européennes et dont la Gouvernance Internationale détentrice de droits, serait
en France et non pas dans un paradis
fiscal.
Ceci
aurait l’avantage de créer des emplois, de la richesse et de générer des taxes
en France.